Source : http://www.numerama.com/magazine/20946-fowl-un-facebook-killer-par-wikileaks.html ------------------------- Wikileaks a dévoilé jeudi son projet FoWL (Friends of Wikileaks), qui vise à créer un réseau social de militants de la liberté d'expression et de la protection de la vie privée à travers le monde, via une plateforme au concept original qu'il décrit comme un "Facebook Killer". La barre est placée très haute. Alors que Facebook est peuplé par 800 millions d'utilisateurs dans le monde, Wikileaks a annoncé jeudi le lancement de son propre réseau social avec l'ambition d'en faire un "Facebook killer". Baptisé Friends of Wilkieaks (FoWL), le site est décrit comme "un réseau d'hommes et de femmes à travers le monde qui défendent Wikileaks et promeuvent sa mission et ses valeurs". "Ce site vous aidera à rejoindre des gens comme vous dans votre région ou à travers le monde. Vous vous ferez de nouveaux amis et alliés, prendrez soin de valeurs chéries, et combattrez pour des causes communes", décrit le site accessible uniquement sur invitation. Lesquelles peuvent être demandées sur Twitter avec le hashtag #tokenplease. Lorsqu'il s'inscrit, l'utilisateur est automatiquement mis en contact avec six utilisateurs (des "poules"...) de sa propre région, et avec six autres utilisateurs dans le monde qui parlent la même langue. Il est alors possible d'exclure les "poules" les moins actives de son réseau, lesquelles sont automatiquement remplacées. Ce concept doit favoriser la création de cercles d'amis les plus productifs dans la bataille pour la liberté d'expression, avec un nombre restreint de personnes qui travaillent bien ensemble. "Vous aurez toujours 12 amis dans votre réseau proche", explique FoWL. Mais ces groupes d'amis pourront eux-mêmes s'associer aux autres, pour créer une action plus globale. Un réseau de militants "FoWL a été mis en place pour apporter un soutien (qu'il soit matériel, médiatique ou une autre forme de solidarité) à quelque individu, organisation ou agence qui se trouve en péril suite à la publication d'informations dans le dessein d'une société plus juste", explique le manifeste du site. "Ceci fait principalement référence à WikiLeaks et à ceux qui soumettent des documents à WikiLeaks, mais comprend tout autre collectif qui partage les idéaux et les valeurs de WikiLeaks et qui se trouve exposé à des représailles suite à l’application de ces principes". "Les membres de FoWL peuvent se rassembler quand Wikileaks et ses alliés sont attaqués. Le réseau peut agir de différentes manières : en fournissant des aides juridiques, en trouvant des soutiens financiers, en militant contre la désinformation, en coordonnant des manifestations publiques. Quelle que soit la situation, chacun peut faire quelque chose." Sans ambitions commerciales Pour s'inscrire, les utilisateurs doivent livrer leur adresse e-mail, une zone géographique (prédite par géolocalisation de l'adresse IP), les langues parlées, et une courte description. Contrairement à Facebook ou Google+, il n'est pas encouragé de livrer son vrai nom. Il reste cependant paradoxal qu'un site qui se donne pour profession de foi de protéger ses sources et la vie privée crée un réseau social qui oblige les membres à se dévoiler et à livrer des informations personnelles. "Nous conserverons ces données de la manière la plus sécurisée possible", assure toutefois FoWL. Mais "il ne sera pas possible de les sécuriser de la même manière que nous le faisons pour la protection des sources, étant donné que les membres de FoWL doivent pouvoir se contacter entre eux", prévient-il. Il veut toutefois se distinguer du caractère commercial de Facebook, un site gratuit où l'utilisateur est le produit vendu. "Nous ne revendrons pas vos données à qui que ce soit. Nous ne donnerons pas vos données à qui que ce soit (...) Nous n’utiliserons pas ces données pour prédire vos habitudes ou vous vendre des produits". Comme Wikileaks, FoWL ne fonctionnera que grâce aux dons de ses utilisateurs et soutiens. Le site est déjà partiellement traduit en français, allemand, espagnol, portugais, et suédois. D'autres langues sont prévues comme l'arabe, le chinois ou le néerlandais. ------------------------ Source : http://www.numerama.com/magazine/20946-fowl-un-facebook-killer-par-wikileaks.html
Ils mettent en place un système de cellules locales ? Il faut voir la taille qu'ils donnent à une "région" : si c'est tout un pays ça ne va pas être pratique pour les "poules" d'une cellule de travailler ensemble...
Source: http://www.lemonde.fr/technologies/...e=dlvr.it&utm_medium=twitter#xtor=RSS-3208001 Julian Assange: http://fr.wikipedia.org/wiki/Julian_Assange Wikileaks: http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikileaks Assange, fixé sur son extraditionLa Cour suprême britannique doit se prononcer mercredi 30 mai sur l'extradition de Julian Assange. Depuis qu'il a été interpellé en décembre 2010 à Londres et assigné à résidence, le créateur de WikiLeaks cherche par tous les moyens à échapper au mandat d'arrêt émis contre lui par la Suède dans une affaire d'agressions sexuelles, qu'il a toujours niées. En février 2011, la justice britannique avait accepté la requête de Stockholm. Julian Assange s'était alors tourné vers la Haute Cour, qui l'a également débouté en appel. Dans cette saga judiciaire, la décision de la Cour suprême est sa dernière carte au Royaume-Uni. Son sort devrait être scellé mercredi lors d'une audience express d'une dizaine de minutes, retransmise en direct sur Internet. Si la cour donne son feu vert, Julian Assange peut être extradé sous dix jours. RECOURS POSSIBLE DEVANT LA CEDH Le seul recours de l'Australien serait alors de saisir la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg. Cette dernière aurait alors quatorze jours pour accepterou refuser le dossier, selon le parquet britannique. Si elle acceptait de s'en saisir, l'extradition serait suspendue et son assignation à résidence continuerait de s'appliquer, dans l'attente d'une nouvelle décision des juges de la Cour européenne. La Cour suprême britannique, qui avait entendu chacune des parties début février, s'est donné presque quatre mois pour trancher cet épineux dossier. Lors de l'audience, la représentante de la Suède avait mis en garde les juges sur les conséquences d'un "non" à l'extradition, susceptible à ses yeux de remettre en question les règles du mandat d'arrêt dans au moins huit pays européens. De leur côté, les avocats d'Assange ont tenté de les convaincre de l'irrégularité de la demande suédoise. Selon eux, le fait que le mandat d'arrêt ait été émis par un procureur agissant au nom de l'Etat n'offre aucune garantie d'"indépendance et d'impartialité". LES ÉTATS-UNIS APRÈS LA SUÈDE ? Assange a toujours assuré que les relations sexuelles qu'il avait eues avec ses deux accusatrices en Suède étaient librement consenties. Et ses partisans ont toujours clamé que l'Australien était victime d'un complot, en représailles à la publication par WikiLeaks en 2010 de milliers de documents confidentiels qui avaient fait trembler Washington et la diplomatie mondiale. Ils craignent aussi que son départ vers la Suède ne soit le prélude à une extradition ultérieure vers lesEtats-Unis. Depuis son arrestation, Assange s'est efforcé de ne pas tomber dans l'oubli, et ce malgré les difficultés financières de son site, qui a été contraint d'interrompre un temps ses diffusions. L'Australien a réussi à lancer dernièrement une série d'émissions télévisées, réalisant depuis sa résidence anglaise des interviews en duplex "d'acteurs politiques majeurs, de penseurs et de révolutionnaires du monde entier". La première, diffusée mi-avril sur la chaîne de télévision russe pro-Kremlin RT et sur Internet, a effectivement fait parler de lui : Julian Assange s'y entretient avec Hassan Nasrallah, le chef du mouvement chiite libanais Hezbollah, ennemi juré d'Israël et de Washington.
Faiblarde, même pas les couilles de s'opposer mais elle a les couilles pour le dire Mais c'est mignon.
Certes mais WL =/= FoWL, tu t'en sors par une pirouette et parce que le titre du thread a été légèrement rectifié, non ? C'est un peu ça quand même. Les amis de wikileaks (c'est mieux que les amis de N. Sarkozy) mais c'est presque pareil :, t'adhère, tu signes, si il va en taule ou se fait kidnapper par la CIA pendant son transfert en Suède, si il a lieu, ça l'aidera pas beaucoup ....
Mais c'est une très bonne idée ! Pourquoi ne pas prolongé sur tout le crâne ?? comme ça dès qu'on lui tirera dessus il aura juste un mal de tête.
Européens arrêtés dans l´affaire Wikileaks Publié le 07-06-2012 à 08:45:06 dans le thème Terrorisme Des européens auraient été arrêtés et entendus par les autorités américaines. Il leur est reproché d'avoir aidé Wikileaks. L'info est passée quasiment inaperçue. Les autorités américaines auraient détenu et interrogé des Européens dans l'affaire des "Dons" effectués au portail d'information Wikileaks. C'est le Twitter officiel de l'organisation qui a diffusé la chose, le 28 mai dernier. Pendant ce temps, le site wlfriends.org a été lancé pour que les "amis" de Wikileaks rejoignent la cause de Julian Assange. Marrant, le site indique, lors de l'enregistrement d'un compte membre, votre situation géographique et le montre sur une carte. _________________________________________________
Des "friends" d'Assange, qui se lachent. http://www.cyberguerrilla.info/?p=5893 Defaced by Anonymous : http://www.aspen-international.com Wikileaks Defaced by Anonymous: http://www.aspen-international.com/ a UK based law enforcement/military equipment manufacturing company, as a show of support for Julian Assange ^ Click to see mirrorMirror: http://www.zone-h.org/mirror/id/17923822 This is a CACHE (mirror) page of the site when it was saved by our robot on 2012-06-20 03:04:37 http://pastebin.com/qf3pCkQu ______________________ Click to see mirror : http://www.cyberguerrilla.info/blog/wp-content/uploads/signature/Anonymous_aspen_int.htm "Nothing appears more surprising to those, who consider human affairs with a philosophical eye, than the easiness with which the many are governed by the few; and the implicit submission, with which men resign their own sentiments and passions to those of their rulers." - David Hume, Of The First Principles of Government.